Damien (27) Abidjan Sandji (3)
Quand je rouvris les yeux mon mec me dit "Ca y est tu es
réveillé salope ?
- Oui.
- Alors petite pute tu es contente, tu t'es bien défoncé ton
trou du cul de pédale ?
- Oui tu m'as bien baisé.
- ça je le sais que je t'ai bien enculé, tu as gueulé comme
une vraie pute que tu es.
- Pourtant au début j'ai eu mal.
- C'est normal, il fallait que ma grosse bite ouvre bien ton
cul de salope
- Tu aurais pu être un peu plus doux.
- ça ne sert à rien avec les putes de ton espèce, il faut
vous casser le cul c'est tout".
Je compris qu'il valait mieux ne pas en rajouter, Sandji était un être frustre, pour lui je n'étais qu'un cul vide couilles un point c'est tout.
Sandji me dit "Comme tu peux le voir ma bite est encore bien
raide, elle a encore envie de ton trou du cul, j'ai encore
envie de t'enculer.
- Moi aussi j'ai encore envie que tu me baises.
- ça je m'en fous, tu ne crois pas que j'allais te laisser
partir après une pipe et un coup tiré dans ton trou du cul
de petite pédale.
- Je ne t'ai rien dit.
- Bien alors tout va bien, tu sais je vais faire ce que j'ai
dit tout à l'heure.
- C'est à dire ?
- Je vais t'enculer et je ne vais ressortir de ton trou du
cul que quand mes couilles seront vides.
- Si tu le dis.
- Eh oui et pour être tranquille j'ai une idée.
- Laquelle ?
- Je vais t'attacher comme ça je n'aurais pas à m'occuper de
toi, j'aurais ce que je veux c'est à dire ton trou du cul
de salope blanche.
- Tu ne vas pas faire ça !!
- Mais si petite pute, pourquoi crois-tu que je t'ai amené
ici ?
Tout simplement parce que tu peux gueuler de plaisir ou de
douleur personne ne viendra à ton secours, il n'y a
personne et même si il y avait quelqu'un, la personne
saurait bien que je suis là avec une pédale et ne ferait
rien.
- Mais Sandji.
- Ta gueule salope, tu as voulu que je t'encule et bien je
vais t'enculer jusqu'à ce que j'ai les couilles vides c'est
tout.
- Je ne veux pas.
- Je viens de te dire de fermer ta gueule salope.
- Mais..".
Sans que je ne vois venir le coup Sandji m'envoya une gifle magistrale qui me fit perdre l'équilibre, il m'attrapa par les cheveux et me dit "Ecoute-moi bien pouffiasse, c'est moi qui
commande et toi tu fermes ta grande gueule sinon je te
bâillonne. Compris ?
- Oui.
- C'est bien tu deviens raisonnable".
Il ouvrit la porte, prit quatre ceintures et un ceinturon, revint vers moi et posa le tout sur le lit, j'avoue que j'étais inquiet et d'une petite voix je demandai "Que veux-tu
faire avec ça ?
- C'est pour t'attacher".
Mon mec s'empara d'une ceinture et la passa autour de mon poignet droit puis serra la ceinture, il fit la même opération pour mon poignet gauche ainsi que pour mes chevilles, je compris ce que voulait faire mon amant, il voulait m'attacher au lit afin de pouvoir me baiser à sa guise.
Même si j'avais peur, j'étais de concéder que me sentir totalement soumis aux caprices de mon homme m'excitait, si celui ci n'était pas trop violent.
Mon mec prit mes bras et les ramena pour les ficeler à la tête du lit, je ne voyais pas du tout où il voulait en venir.
Sandji s'aperçut de mon étonnement et me dit "Tu as l'air de
ne rien comprendre ma salope, mais ne t'inquiètes pas tu
vas bientôt le savoir".
Mon amant prit ma jambe droite la releva au-dessus de mon corps et l'attacha à la tête du lit, il fit de même avec l'autre jambe puis s'écarta et regarda son uvre.
J'étais complètement à sa merci, pieds et poings liés, je ne pouvais pas bouger mes chevilles étaient écartées et ligotées à la hauteur de ma tête, de cette manière mes fesses s'ouvraient laissant mon anus ressortir.
Mon homme sourit et me dit "Tu vois ma belle petite pédale
comme ça j'ai exactement ce que je veux, c'est à dire ton
trou du cul, je vais pouvoir bien le bourrer sans être
gêné.
- Oui.
- Est-ce que tu as aimé ?
- ..
- Et puis on s'en fout, ce qui compte c'est qu'à moi ça me
plaise hein ?
- Oui.
- Tu sais ma pute j'aime quand tu es comme ça, bien docile,
prête à tout pour me faire plaisir, enfin là on peut dire
que tu n'as pas tellement le choix. Hein ?
- Oui.
- Bien alors tu vois comme tu es gentille, moi aussi je vais
être gentil, je vais t'expliquer ce qui vas se passer, je
vais d'abord t'enculer une fois histoire de me vider un peu
les couilles car voir ton trou de balle de pute en train de
palpiter ça m'excite. Après je vais te mettre une bonne
raclée avec le ceinturon et..
- Non pas le ceinturon...
- Mais si ma petite pouffiasse tu vas voir tu vas aimer ça de
recevoir une correction sur ton cul de salope, ensuite
quand j'aurais fini de te dérouiller je vais encore te
baiser sans sortir de ton trou du cul jusqu'à ce que j'ai
les couilles vides, et avant enfin je te détacherai. Voilà
le programme. À oui je te préviens si tu gueules je te
bâillonne".
J'étais totalement sans défense, je me dis que le mieux était de me taire et le laisser faire en serrant les dents, je me préparai donc à subir ce qu'il avait prévu de me faire.
Mon mec monta sur le lit et dit "Oui c'est bien comme ça, je
vais bien m'amuser avec ce cul".
Il me mit une claque sur les fesses et m'enfonça violemment un doigt dans l'anus ce qui me fit gémir, mon amant retira son doigt et me dit "Ton fion est bien mou ma salope, j'ai eu
raison de te défoncer tout à l'heure".
Sandji s'agenouilla devant moi, il guida son sexe dressé à l'orée de mon canal affamé et d'un brutal coup de reins m'enfessa jusqu'à la garde.
Ce rude assaut m'arracha un petit cri de douleur qui fit rire mon amant, puis posant ses mains sur mes cuisses il se mit à me besogner à une vitesse folle de toute la longueur de énorme son pénis érigé.
Au moment où une douce langueur commençait à prendre possession de mon corps mon mec se plaqua contre moi et éjacula en râlant et en disant "Ah ce que tu es bonne ma
pouffiasse, que ton cul de salope est bon".
Mon amant se retira, il essuya son phallus sur moi, me regarda et me dit "Qu'est-ce que tu as putain, tu n'as pas aimé ?
- Si...
- Mais non tu fais la gueule.
- Non je t'assure...
- Ah j'ai compris ma pétasse n'a pas pris son pied, mais je
m'en fous ce qui compte c'est que moi je prenne le mien, et
j'ai tiré un bon coup. Bon allez maintenant passons aux
choses sérieuses, prépares-toi à prendre ta raclée".
Mon homme se leva et sortit de la pièce, il revint avec deux bières, il en ouvrit une et la but d'une traite.
Quand il eut fini, il posa la canette sur le bureau et ramassa le ceinturon, il mit la boucle dans sa paume et entoura la lanière de cuir autour de sa main, il cingla l'air deux fois et dit "Je crois qu'on va bien rire, enfin que je vais bien
rire ma petite pute".
Mon mec leva le bras et abattit violemment la ceinture sur mes miches offertes, l'intense douleur que me provoqua la morsure du cuir fut telle que je ne pus m'empêcher de hurler, Sandji éclata de rire et me dit "Ca fait circuler le sang hein
salope".
Tel un dément l'homme se mit à me battre à coups redoublés, chaque fois que la lanière entamait la chair de mes lobes charnus je poussai un hurlement strident.
Me voir souffrir semblait exciter mon amant qui frappait de plus en plus fort chaque fois que je criais.
Je ne sais combien de temps dura ce déluge de coups, je pleurais à chaudes larmes sans réagir, en dehors de mes sanglots on entendait dans la pièce le bruit mat que faisait le ceinturon quand il claquait contre ma croupe tuméfiée.
Au fur et à mesure que les coups pleuvaient, je ressentais moins la douleur, je croyais que mon homme me battait plus doucement mais ce n'était pas le cas, j'avais atteint le point où la souffrance est telle que le corps ne sent plus rien.
Petit à petit à la place de la douleur une chaleur prit naissance dans le creux de mes reins et des bouffées de plaisir affluèrent en moi, chaque fois que la ceinture cognait mon postérieur je râlais et je me mis à rouler des hanches tout en tendant mon fessier vers l'engin qui me fessait.
Mon mec s'en aperçut et me dit "Alors tu vois salope que tu
aimes ça, ce nest pas croyable je suis en train de te
dérouiller et toi tu tends ton cul de pute pour en avoir
encore plus. Tu en veux plus et bien tu vas en avoir".
Se déplaçant pour changer son angle de frappe Sandji leva le ceinturon et l'abattit avec force, le bout de cuir heurta mon anus.
Une douleur inhumaine me submergea et je poussai un hurlement aigu, j'avais l'impression qu'on appliquait contre mon intimité un fer porté au rouge.
Mon amant éclata de rire et me dit "Ca te réveille hein
pétasse ?".
Excité par mes cris il continua de me battre de la sorte, la souffrance était telle que je pleurais à chaude larmes.
Pendant plusieurs minutes mon tourmenteur me maltraita de la sorte et petit à petit le mal s'estompa et commença à faire place à un mélange de douleur et de plaisir.
J'avais atteint le point où les extrêmes se rejoignent et je me mis à gémir sous les coups.
Mon homme à bout de souffle jeta le ceinturon et me dit "Je
crois que tu as assez dérouillé, maintenant je vais te
baiser.
- Oui baise-moi, j'ai envie.
- Pourriture tu es vraiment une sale pute.
- Oui je suis en feu, viens encule-moi.
- Ah tu es en feu, remarque je ne suis pas étonné, tes miches
sont rouges et ton trou du cul et bien enflé.
- J'ai besoin de ta queue, elle seule peut me rafraîchir.
- Tu as raison ma salope de pédale, je vais te rafraîchir le
fion".
Mon mec s'approcha de moi, il prit son sexe de sa main droite et se mit à m'uriner dessus, ses jets de pisse me souillèrent les fesses puis Sandji fit en sorte de finir en m'aspergeant la raie.
Quand il eut fini mon amant me dit "Alors ma poule tu as le
cul un peu plus frais ?
- Il y a plein de pisse sur le lit...
- Et alors je m'en fous c'est toi qui est dans la pisse moi
j'ai toujours ton trou du cul en position.
- Mais...
- Mais quoi salope ? Javais envie de te pisser dessus et
c'est tout. Maintenant que tu as le cul refroidi je vais
t'enfiler car j'ai une de ces trique, regarde ma petite
pute comme mon gros bâton est dur".
Mon homme monta sur le lit, il positionna son pénis érigé contre mon illet affamé puis me pénétra à fond d'un brusque coup de reins.
Cet assaut brutal me fit pousser un petit cri, mon mec complètement enfoncé en moi me dit "J'aime bien t'entendre
avoir mal ma petite pute, allez souris salope je vais bien
limer ton fouinedé de pédale".
Prenant appui sur mes cuisses Sandji se mit à me posséder violemment de toute la longueur de son phallus raide.
Au bout de quelques instants il se plaqua contre mon fessier et m'inonda le fondement en râlant.
Mon amant, comme prévu, me sodomisa toute l'après-midi et toute la nuit sans sortir une fois de mon cul.
Cet homme semblait inépuisable, il n'était pas rare qu'il me baise pendant plus d'une heure avant de tirer un coup.
J'avais l'anus complètement démoli et les chairs à vif.
Si j'avais joui comme un fou au début ce que j'endurai maintenant était innommable, pour la première fois de ma vie je soufrais le martyre chaque fois que mon homme allait et venait en moi et je me surpris à le supplier d'arrêter de me baiser tant j'avais mal.
Sourd à mes cris mon mec m'encula jusqu'à ce que ses couilles soient vides, j'avais les cuisses et la raie poisseuses de foutre.
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